
Les Piliers de la Terre, c’est le titre d’un roman écrit par Ken Follett. Voici ce qu’on peut lire sur la quatrième de couverture :
« Dans l’Angleterre du XII ème siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent pour s’assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l’amour, ou simplement de quoi survivre. Les batailles sont féroces, les hasards prodigieux, la nature cruelle. Les fresques se peignent à coups d’épée…et saintes ruses. La haine règne, mais l’amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser toucher par la foi des hommes.
Abandonnant le monde de l’espionnage, Ken Follett, le maître du suspense, nous livre avec Les Piliers de la Terre une œuvre monumentale dont l’intrigue, aux rebonds incessants, s’appuie sur un extraordinaire travail d’historien. Promener de pendaisons en meurtres, de Tours à Saint-Denis, le lecteur se trouve irrésistiblement happé dans le tourbillon d’une superbe épopée romanesque dont il aimerait qu’elle n’eût pas de fin. »
Ce que j’en dit : j’adhère, j’adore ! Le texte ci-dessus est vraiment proche de ce qu’on ressent à la lecture du bouquin. L’histoire suit les vies de personnage qui s’entremêlent, s’aiment, se déchirent, se tuent, aussi parfois.
Je ne m’y suis peu ou prou ennuyée, on voit là l’homme, ses vices et vertus avec toute la dureté que ça implique. On y croisera le destin de personnages « historiques », ayant existé… Notamment sur les pas d’Aliéna…

Remarque : ceux à qui les pavés font peur s’abstenir, ou s’accrocher, ça en vaut la peine, je pense…
