Ben voilà. Cet après-midi, je vais essayer de m'arracher, me harnacher, pour terminer ? mon adaptation de Perceval du génie Chrétien (lui qui n'a pas eu cette chance, ou fut-ce la présence encore du non-fini dans le texte médiéval ?).
J'en forme ce que j'appelle un éloge à la naïveté.
Pour encouragement de travail, si vous passez par là, vos avis, émotions, sentiments quant à ce texte (l'original), me seront autant de soutiens.
Qu'en avez-vous retenu ?
Que dire du silence de Perceval face au Graal ?
Par avance, merci.
pssst : il me plaît de sortir de l'isolement de l'écriture, et d'imaginer, par ce média nouveau (tellement pour moi), rejoindre un peu ce que fut l'oralité médiévale, sorte de communauté de l'oeuvre...