dame Garsende a écrit:Que les hommes apprennent rarement des erreurs de leurs aînés et refont donc souvent les mêmes boulettes:)
Je ne suis pas partisan de cette vision car je crois vraiment que chaque fait historique à son contexte dont nous ne percevons qu'une infime partie.
Je m'explique, j'ai souvent été tenté de croire que l'histoire beyagait, que les hommes ne tirais pas les "leçons de l'histoire". Qu'ai je dit? Y aurait t'il un enseignement à tirer de l'étude historique? Aucunement, si ce n'est le dépaysement qu'elle nous apporte, l'immersion dans une action concrète et le refoulement de certains faits qui nous répugnent.
Il y a eu une première guerre mondiale qui a ensanglanté notre première moitié du XX. siècle, l'atrocité humaine semblait finie et l'ont c'est dit "plus jamais cela"...Cela n'as pas empecher une seconde guerre mondiale d'éclater 20 ans plus tard. Cela ne signifie pas qu'on as pas tiré les "leçons de l'histoire", qu'ont a été stupide et que les hommes n'ont pas appris les erreurs de leurs ainés à mon sens. Chacune de ces guerres mondiales ont eu leurs origines, leurs faits et leurs conséquences propres: et l'ont reconnait les similitudes de l'une et de l'autre dans certains points, pour autant elle sont distinctes par le simple fait du temps. L'événement est unique, c'est bien ce qui nourrit les difficultés et les passions de l'étude historiques.
A ce propos la phrase de mon professeur de philo m'as fait sourire quand on as appréhender le thème historique: "L'histoire ne ser à rien"

Oup's un peu hors sujet pour le coup, pardon Armoisine

